dimanche 19 août 2012

Quand l'impression devient picturale

Bonjour,

Histoire d'inaugurer le blog, une image du travail en cours le 25 mai 2012.

Je continue le travail sur les "chevets" qui ne sont pas encore achevés, cela fait déjà un an que je suis dessus. 
Je reprend les "tours de l'hommage" dont certaines avaient été présentées à "COREElation" en 2007 à l'hôtel du département à Rouen  et à Gwangju en Corée du Sud l'année suivante. 
Et enfin un morceau du "pentaptyque" 65 8 316, initié en avril dernier.
Tous ces travaux, sont élaborés par un travail de superposition de matrices identiques, similaires, complémentaires ou différentes dont j'afficherai bientôt les photos ainsi que les étapes d'impression.
 Cela nécessite une mise en scène qui n'est pas aisée à réaliser.
Atteindre un "fait pictural" est pour moi actuellement une manière de matérialiser mes projets numériques. C'est une manière de me mettre du côté des Rubinistes dans la guerre à la fin du XVIIème siècle avec les poussinistes au sujet du dessin et de la couleur. Il pourrait y avoir une sorte de consensus puisque je part de matrices gravées donc ici aux points qui prennent une sorte d'épaisseur, de transparence avec l'encre.




Comme la peinture j'utilise l'encre blanche pour apporter des lumières reflets et celle du papier pour donner de la transparence de la luminosité. Après avoir fait l'un ou l'autre, je cherche à combiner les deux.

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